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RIPLEY Rouleau manuscrit alchimique.




LE MANUSCRIT DE RIPLEY

George Ripley



Vous devez faire l’Eau de la Terre, et la Terre de l’Air, et l’Air du Feu, et le Feu de la Terre. La Mer Noire. La Lune Noire. Le Soleil Noir.




 Voici la fin de la Pierre Blanche et le commencement de la Rouge.
Du fils prenez la lumière,
La gomme rouge qui est si éclatante,
Et de la Lune faites aussi,
De laquelle gomme ils tous deux parés,
Le Soufre philosophique vif,
Ceci je l’appelle sans lutte,
On les appelle aussi Roi et Reine éclatants,
Et de plusieurs autres noms,
D’eux extrais la teinture,
Et fait d’eux un mariage pur,
Entre le mari et la femme,
Epousés par l’eau de la vie,
Mais de cette eau vous devez prendre garde,
Ou autrement votre travail sera pure perte,
Elle doit être faite de leur propre genre,
Marquez cela maintenant en votre esprit,
Les hommes l’appelle l’Acetome des philosophes,
Elle est une eau permanente,
Le lait des vierges de la rosée,
C’est tout ce que le travail renouvelle,
On l’appelle aussi le Serpent de la vie,
Et de beaucoup d’autres noms,
Laquelle provoque la génération,
Entre l’homme et la femme,
Mais voyez qu’il n’y ait point de division,
Dans la conjonction,
De la Lune et du Soleil,
Dès que le mariage est commencé
Et pendant qu’ils feront mariage,
Donner leur, leur boisson,
« Acetome » qui soit bon et fin,
Meilleur pour eux que tout vin,
Maintenant lorsque ce mariage est fait,
Le Philosophe l’appelle une pierre,
Laquelle a grande nature,
Amener une pierre qui est si pure,
Qu’il a nourri patiemment,
Chaleur parfaite et décoction,
Mais dans la matrice quand elles sont mises,
Ne laissez jamais le verre non fermé,
Jusqu’à ce qu’il aient engendré une pierre,
De part le monde il n’y a pas une pierre semblable.








 La Lune Rouge. L’Esprit de l’Eau. Le Soleil Rouge. La Mer Rouge.
Sur le sol il y a une colline,
Ainsi qu’un serpent dans un puits,
Sa queue est longue et ses ailes déployée,
Prêt a s’envoler par les côtés,
Réparez le puis promptement,
Afin que le serpent ne s’en échappe,
Car si il s’en allait,
Vous perdriez la vertu de la pierre,
Où est le sol que vous devez ici connaître,
Et le puits ce n’est pas si clair,
Et quel est le dragon avec la queue,
Ou autrement le travail sera de peu d’utilité,
Le puits doit donner de l’eau claire,
Prenez bien garde à  ceci, votre feu,
Le feu avec l’eau brillante devra être brûlé,
Et l’eau avec le feu devra être lavée,
La terre sur le feu doit être mise,
Et l’eau avec l’air doit être unie,
De cette façon vous ferez la purification,
Et amener le serpent à la Rédemption,
En premier il doit être noir comme un corbeau,
Et au fond de sa tanière il devra être étendu,
Gonflé comme un crapaud étendu sur le sol,
Avec des vésicules le couvrant de toutes parts,
Elles doivent s’éclater et s’étaler pleinement,
Et c’est par cet artifice que le serpent est mis à mort,
Il doit briller de plusieurs couleurs,
Et devenir aussi blanc qu’un os de baleine,
Avec l’eau en laquelle il était,
Lavez le parfaitement de son péché,
Et laissez le boire légèrement,
Et cela devrai le rendre beau et blanc,
Laquelle blancheur doit demeurer,
Voyez ici est l’accomplissement final,
De la pierre blanche et de la pierre rouge,
Voyez ici la vrai manière d’opérer.
  


 Le Lion Rouge. Le Lion Vert. La Bouche de la mise en garde cholérique.




Voici la fin  du Rouge, le commencement pour écarter le mort. L’Elixir de Vie.

Prenez le père que Phoebus si haut,
Qui siège si haut en majesté,
Avec ses rayons et son éclat si brillants,
En toutes places qu’il puisse être,
Car il est le père de toute chose,
Mainteneur de la vie des plantes et des racines,
Et qui force la nature au printemps,
Avec la femme début de l’apaisement,
Car il est esclave de toute douleur,
Pour déterminer ce travail prospère,
Prenez garde à ce savoir,
Je le dis au savants et aux clercs,
Et Homogénie est mon nom,
Que Dieu fit de ses propre mains,
Et Magnésie est ma dame,
Comprenez très bien.
Maintenant je dis ici commencer,
Pour vous enseigner une voie facile,
Car autrement vous gagnerez peu,
Prenez bien note de ce que je dis,
Divisez donc Phoebus en plusieurs parts,
Avec ses rayons qui sont si brillants,
Et par lequel la nature est convertie,
Lequel est le miroir de toute chose,
Ce Phoebus qui a plein de noms différents,
Qu’il est difficile de tous connaître,
Mais prenez exactement le même,
Les philosophes de la pierre vous ne devez le connaître,
Par conséquent je  vous conseille avant de commencer,
Connaissez vraiment ce qu’il doit être,
Et ce qui est épais faite le délié,
Car à présent il devra être comme vous,
Maintenant comprenez ce que je dis,
Et prenez bien note de ceci,
Ou en travaillant autrement on verra peu de chose,
Et vous aurez grand chagrin,
Comme j’ai déjà dis notre science,
Plus d’un nom j’aimerai qu’elle ait,
Certain derrière certain devant,
Comme les philosophes aime lui donner,
Dans la mer sans lie,
Se tient l’oiseau d’Hermès,
Dévorant ses ailes changeantes,
Et se stabilise lui-même,
Lorsque toute ses plumes ont disparues,
Il se tient toujours là comme une pierre,
Il est maintenant blanc et rouge,
Et tout autant la pierre pour accélérer la mort,
Toute et quelque sans fable,
Tous les deux dur et mou et malléable,
Comprenez bien et correctement maintenant,
Et remerciez Dieu de cette vision.


L’oiseau d’Hermès est mon nom, je dévore mes ailes pour m’adoucir.






La Mer Rouge. Le Soleil Rouge. L’Elixir de Vie Rouge.
La Pierre Rouge. La Pierre Blanche. L’Elixir de Vie. La Lune en son Croissant.

Je doit vous dire par explication claire,
Où, comment et quelle est ma génération,
Omogeni est mon père,
Et Magnésie est ma mère,
Et Azoth vraiment est ma sœur,
Et Kibrick en vérité est mon frère,
Le Serpent d’Arabie est mon nom,
Qui est le meneur de tout ce jeu,
Qui quelquefois est à la fois bois et sauvage,
Et maintenant je suis à la fois humble et doux,
Le Soleil et la Lune avec leur puissance,
M’ont purifié moi qui été si léger,
Mes ailes qui m’ont amenée,
Ici et là où je pensais,
Maintenant avec leur puissance me terrasses,
Et m’amène où elles veulent,
Le sang de mon cœur j’espère,
Maintenant apporte à la fois joie et béatitude,
Et dissolvent cette pierre,
Et  le noue plus avant qu’il a fait,
Maintenant faites dur ce qui était mou,
Et le faites devenir fixe,
De mon sang et mon eau je désire,
Qu’il y en ait plein le monde,
Il cours en toute place,
Qui l’a trouvé a la grâce,
Dans le monde il couvre tout,
Et tourne comme une balle,
Mais vous entendez bien ceci,
De travail vous ne manquerez,
Par conséquent sachez avant de commencer,
Ce qu’il est et son espèce,
Plein de nom il a pour sûr,
Mais tous sont d’une même Nature,
Vous devez le partager en trois,
Puis le nouer en une Trinité,
Et n’en faire plus qu’un,
Voyez voici la Pierre Philosophale.





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